Le Sacre de Napoléon

Le Sacre de Napoléon est un tableau de Jacques-Louis David, peint en 1808. Ce peintre a été chargé par Napoléon d´immortaliser la cérémonie du sacre, où il se fait sacrer empeureur sous le nom de Napoléon Ier, après avoir été oint par le pape Pie VII le 2 décembre de 1804 dans la Cathédrale Notre-Dame.

Dans l´image, nous pouvons voir l´interieur de la Cathédrale Notre-Dame avec Napoléon, Josephine, sa famille et des autres assistants. Dans ce moment, Napoléon qui est dans le centre de l´image, au dessus d´une petite escaliers et qui s´habille avec une couronne de laurier et un manteau impérial, est en train de couronner son épouse Joséphine. Joséphine est a gauche de Napoléon sur une oreiller et s´habille avec un grand manteau rouge, une diadème et des autres bijoux avec des diamants. La mère de Napoléon, María Letizia Ramolino, est situé dans le centre de l´image dans un haut l´ieu, bien que elle n´avait pas assisté à la cérémonie. L´auteur est aussi représenté sur l´image, proche de la mère de Napoléon, mais un peu plus haute a gauche. Les soeurs de Napoléon, Carolina, Paulina et Elissa; et leurs soeurs en droit, Hortensia et Julie Clary sont situés a gauche de l´image et a droit des frères de Napoléon (Luís et José Bonaparte). Les maréchales de l´Empire, se situent à gauche de Josephine. À droit de Napoléon on peut voir le clergé, composé par le pape Pie VII, qui est assis et en faisant un geste de bénédiction; les cardinaux Caprara et Brasche; et l´abbé Rafael de Monachis. Le cardinal Caselli, qui est entre Napoléon et Joséphine mis en haut un crucifix le moment que Napoléon donne la couronne à Joséphine. Les ministres de l´empereur ont assisté a la cérémonie et sont représentés dans l´image a droit. Les ambassadeurs étrangers des pays alliés de la France sont situées proche du clergé, un peu plus haut.

Le Serment du Jeu de pomme

Le Serment du Jeu de paume est un tableau de Jacques-Louis David, peint entre 1790 et 1794. Cette œuvre représente l'événement qui était arrivé dans la salle du Jeu de paume à Versailles, le 20 juin 1789 parmi les députés du tiers état et le clergé, où ils font le serment de ne pas se séparer avant d´avoir rédigé une Constitution. Cet événement se considère comme la naissance de la Révolution, et après, le 9 juillet les députés forment l´Assemblée Nationale Constituante.

Dans l´image, on peut voir que la salle du Jeu de pomme est complet par les représentants du tiers état. Au premier plan à droite, on peut voir à Robespierre avec ses mains expressivement sur sa poitrine. Bailly, le Président de l'Assemblée est élevé avec une main en haute et un papier dans l'autre. Il essaye de faire silence pour lire en haute la déclaration d'indépendance et de loyauté. Vers lui se dirigent toutes les bras, les visages, les regards, comme symbole de la république. Avant lui, trois membres du haut clergé français sont embrassés, ce qui donne une touche sacrée à un événement qui a été complètement développé dans la laïcité de l´illustration. Par les fenêtres des galeries supérieures, ils sont le peuple de Paris, qui veulent voir leurs représentants. Le vent de la révolution entre dans la salle et fait voltiger les rideaux furieusement.

Olympe de Gouges

Olympe de Gouges, auteur de la «Déclaration des droits de la femme et du citoyen» en 1791, est une personnalité clé pour comprendre l'origine du féminisme occidental. Elle a vécu la Révolution française dans laquelle un grand nombre des droits politiques de la citoyenneté ont été definis. La prise de la Bastille le 14 Juillet, 1789 a marqué la fin de l'Ancien Régime en France et en l'Europe. Mais, malgré des principes des Lumières qui ont guidé la révolution, il n'avait pas commencé une nouvelle époque de liberté et d'égalité pour les femmes.

Elle était née à Montauban, une ville du sud-ouest du France, le 7 mai 1748 et est mort sur la guillotine, le 3 Novembre de 1793 par conséquence de sa appartenance aux Girondins. Elle a été consacré à la défense de l'éducation des femmes, la participation politique et le vote des femmes, et a dénoncé la trahison de la Révolution française aux principes des Lumières, qui défendu que "tous les êtres humains naissent libres, égaux et avec des droits égaux", car en dépit avoir un rôle actif dans la lutte révolutionnaire, les françaises ont été exclus dans la «Déclaration des droits de l'homme et du citoyen» de 1789.

Après la mort de son premier mari, elle est deplacée à Paris en 1770 et a commencé une vie intellectuelle intense. Après, elle refuse de prendre le nom de famille de son mari et critique depuis ce moment le concept de <<propriété>> des femmes par rapport aux hommes. Leurs idées sociales, d'abord inspirées par l´œvre de Rousseau, émergent dans des œuvres comme «Le esclavage des noirs», dans lequel elle critiquait l'enrichissement d'une partie de la bourgeoisie par conséquence de la traite des esclaves. Il y avait tant de controverses pour ça qu´elle a été emprisonné, mais a été libéré rapidement. Elle est ainsi devenu une référence pour les membres du mouvement abolitionniste.

Elle a été une pionniere dans tous les aspects du féminisme, pas seulement dans la défense du rôle politique et éducatif des femmes, aussi de croire en l'amour libre et de proposer de nouveaux droits pour les femmes à la vie personnelle ou familiale, comme l'élimination du mariage et la défense du droit au divorce. En 1791, elle a écrit sa «Déclaration des droits des femmes et des citoyens» et fait que l'égalité s´est discutée à l'Assemblée, mais ses propositions ne sont pas reconnus. 

Au long de sa vie, elle a supportée toutes sortes d'attaques misogynes, même des Girondins, et après l´arrivée au puissance des Jacobins en 1793, Olympe a été persécuté, emprisonné et exécuté.